Fans du groupe de rock britannique Pink Floyd ? Vous n’avez pas pu aller voir Roger Waters se produire à Lille ? La cité des sciences et de l’industrie de Paris donne l’occasion de se rattraper en allant visionner le film concert. L’événement prend lieu de façon hebdomadaire jusqu’au 27 aout.
Commémoration de « The Dark Side of the Moon »
Si vous aimez vivre des expériences musicales uniques, à Paris, vous ne serez pas en reste. Après l’annonce de la venue de Martin Solveig au jardin d’acclimatation, c’est auprès de Pink Floyd que vous continuerez vos découvertes musicales.
L’événement a lieu afin d’inaugurer une commémoration d’un des meilleurs albums du groupe pour son 50ᵉ anniversaire, « The Dark Side of the Moon ».
C’est aussi un hommage aux années passées au sein d’un des groupes de musique les plus emblématiques de l’histoire mondiale. Roger Waters, ex-fondateur, chanteur et bassiste de Pink Floyd, a donné deux concerts à l’Accor Arena de Paris.
Ce n’est pas qu’un concert, c’est un spectacle visuel et sonore et ce film ne date pas de la dernière pluie. Il a vu le jour le 27 février 1973 pour célébrer la sortie dans les bacs du même disque.
Le résultat est à la hauteur de son fondateur. L’ambiance était d’enfer avec une diffusion en arrière-plan du disque à travers un système quadriphonique. La spécificité est que ce système englobe le spectateur. Il le submerge et l’immerge.
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Des oreilles au visuel : on en perd nos sens
Le film relate un storytelling en plus de faire profiter d’un moment musical aux anciens comme aux nouveaux fans. Pour satisfaire les plus exigeants, des visuels ont été rajoutés à la bande filmique avec une photo du prisme classique de la pochette d’album du groupe ou la pyramide de Gizeh.
C’est un moment euphorique pour beaucoup. La bonne musique comme ils l’aiment dans les oreilles. C’est une révision d’un temps passé, mais qui persiste à se frayer une voie vers l’avenir.
Il faut être réceptif au style de musique enregistré par les musiciens de la bande. Il y a de quoi avoir la tête dans les étoiles.
Pour une expérience notable, écoutez le hit « Time » et le solo de guitare sidéral de David Gilmour. On a, à ce moment-là, l’impression de perdre pied. Les vocalises de la choriste Clare Torry transcendent avec exception le public. « The Great Gig In The Sky »
L’expérience fantasmagorique est à vivre dans un rendez-vous hebdomadaire. C’est chaque dimanche à 18 heures. Le planétarium de la Cité des sciences et de l’industrie accueille les férus de Pink Floyd pour partir faire un trip d’enfer. L’occasion ne se reproduira pas deux fois.