rédigé par
AuroreLe 9ᵉ arrondissement accueille un nouveau restaurant pour un homme aimant la gastronomie raffinée. Le Passionné ouvre ses portes à la cuisine fine française.
Un amour 5 étoiles pour le pays à la marinière
Vous avez envie de profiter de la culture asiatique ? Après la découverte du Moom Mam, pourquoi ne pas se rendre au Passionné ? Son chef cuisinier, Satoshi Horiuchi, est d’origine japonaise. Il a le goût et le savoir-faire d’une gastronomie authentique et fine. Il mène son ambition en faveur de la cuisine à la française.
Au 17 rue Bergère, Passionné s’appuie sur des valeurs écoresponsables. Dans les temps modernes, on y met en avant les producteurs locaux et l’usage de produits de saison et du terroir.
La culture nippone du gérant de ce restaurant est un plus certain. Il couple son amour pour le produit d’origine à ses techniques culinaires. Le résultat promet de ne laisser personne de marbre au milieu de ce minimalisme moderne.
Une implantation à l’ère du temps
Le restaurant propose une cuisine d’une excellente qualité dans un décorum sophistiqué. Son bar parfait l’arrière-plan sous des mosaïques bleu nuit. Il faut noter que les valeurs retrouvées à table sont des concepts dignes du XXIᵉ siècle.
https://www.instagram.com/p/CqPw7G9M8M6/
Anti-gaspillage et respect de l’emplacement pour ses clients, le menu vous convie à une table neuve aux envergures futuristes. Gourmandise et moralité s’attablent avec vous pour vous promettre un voyage culinaire avec un raffinement à la française.
On y mange quoi ?
Le chef vous promet un dépaysement total, sans sortir de la capitale. Il dispose et dépose “carte blanche” pour favoriser la recherche de l’inspiration.
La gastronomie française est revisitée sous ses aspects les plus ancrés. Les créations de Satoshi Horiuchi sont de haut vol. Vous assisterez à une maitrise de la culture et des produits utilisés, minutieusement choisis parmi les meilleures propositions du marché local et de petits producteurs.
Par ailleurs, on peut y déguster de nombreux mets, de la bouchée au dessert. Les cuissons équivalent les assaisonnements pour un plat parfaitement harmonieux. Il y signe de nombreuses recettes authentiques sous une version « à la carte » du menu.
Que ce soit le thon blanc surplombé d’un bouillon de coquillages, à la canette de Challans rôtie et dorée, en passant par des radis saupoudré de poutargue africaine ou un morceau effilé de barbue à l’huile exaucée à l’ail, le goût sera au rendez-vous…
Le gastronome cinq étoiles vous réserve également la découverte de ses succulents desserts revisitant les classiques comme un millefeuille, une tartelette au chocolat ou un blanc-manger agrémenté de fraises.
